L'Académie impériale de musique doit servir l'éclat de l'Empire et la gloire de l'Empereur.
La réglementation de 1807 réserve à l'Académie impériale l'exclusivité d'un genre lyrique dont sera issu le "grand opéra" à la française.
L'État subventionne l'Académie impériale et fait contribuer les théâtres privés à son financement.
Entre 1800 et 1815, 40 œuvres lyriques sont présentées sur la scène de l'Académie. La Vestale de Spontini mise à part, la plupart ont disparu du répertoire.